Les Nourritures terrestres von André Gide

Un essai d'André Gide
CHF 21.50 inkl. MwSt.
ISBN: 979-10-419-1210-0
Einband: Kartonierter Einband (Kt)
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Les Nourritures terrestres est une ¿uvre littéraire d'André Gide, publiée en 1897, évoquant le désir et l'éveil des sens. Cette ¿uvre de jeunesse, longuement mûrie, est celle d'un «convalescent [...] qui embrasse la vie comme quelque chose qu'il a failli perdre». Ni roman, ni essai, ni long poème en prose, cette ¿uvre inclassable est un peu tout cela à la fois. Dans les huit livres qui la composent, le narrateur, se réclamant d'un maître appelé Ménalque, s'adresse à un disciple qui répond au nom biblique de Nathanaël et qui représente le lecteur virtuel du texte. Le propos de l'ouvrage est donné dès l'Avertissement qui précède le premier livre: «Que mon livre t'enseigne à t'intéresser plus à toi qu'à lui-même,  puis à tout le reste plus qu'à toi.» Puis, dans l'«Envoi» qui clôt le texte, l'auteur donne à son disciple ces ultimes conseils: «Nathanaël, à présent, jette mon livre. Quitte moi. [...] Ne t'attache en toi qu'à ce que tu sens qui n'est nulle part ailleurs qu'en toi-même, et crée de toi, impatiemment ou patiemment, ah! le plus irremplaçable des êtres.» Ce livre exalté, sensuel et lyrique célèbre la vie, la nature et le désir.

Les Nourritures terrestres est une ¿uvre littéraire d'André Gide, publiée en 1897, évoquant le désir et l'éveil des sens. Cette ¿uvre de jeunesse, longuement mûrie, est celle d'un «convalescent [...] qui embrasse la vie comme quelque chose qu'il a failli perdre». Ni roman, ni essai, ni long poème en prose, cette ¿uvre inclassable est un peu tout cela à la fois. Dans les huit livres qui la composent, le narrateur, se réclamant d'un maître appelé Ménalque, s'adresse à un disciple qui répond au nom biblique de Nathanaël et qui représente le lecteur virtuel du texte. Le propos de l'ouvrage est donné dès l'Avertissement qui précède le premier livre: «Que mon livre t'enseigne à t'intéresser plus à toi qu'à lui-même,  puis à tout le reste plus qu'à toi.» Puis, dans l'«Envoi» qui clôt le texte, l'auteur donne à son disciple ces ultimes conseils: «Nathanaël, à présent, jette mon livre. Quitte moi. [...] Ne t'attache en toi qu'à ce que tu sens qui n'est nulle part ailleurs qu'en toi-même, et crée de toi, impatiemment ou patiemment, ah! le plus irremplaçable des êtres.» Ce livre exalté, sensuel et lyrique célèbre la vie, la nature et le désir.

AutorGide, André
EinbandKartonierter Einband (Kt)
Erscheinungsjahr2023
Seitenangabe138 S.
LieferstatusFolgt in ca. 10 Arbeitstagen
AusgabekennzeichenFranzösisch
AbbildungenPaperback
MasseH22.0 cm x B17.0 cm x D1.0 cm 253 g
VerlagCulturea

Über den Autor André Gide

Gesetz und puritanische Strenge spielten für André Gide seit seiner Geburt eine große Rolle. Der Vater, ein Professor der Rechte, ging mit dem Jungen streng ins Gericht. Bereits früh jedoch distanzierte sich der junge Literat von moralischen Vorschriften und erkannte bereits seit einer Reise nach Algerien und Marokko 1893-94 seine Homosexualität. Dennoch heiratete er 1895 seine Kusine und reiste mit ihr durch Europa und Afrika. Später war Gide vorrübergehend Kommunist, verabschiedete sich aber schnell wieder von diesem Denksystem, nachdem er 1936 von einer Rußlandreise enttäuscht zurückkehrte. 1947 wurde er mit dem Nobelpreis für Literatur gewürdigt. Am 19. Februar 1951 starb er in seiner Geburtsstadt Paris. Zum Werk Gides Werk nimmt für die Moderne eine wichtige Rolle ein und ist in einem Atemzug mit dem von Proust, Joyce oder Döblin zu nennen. Er war ein leidenschaftlicher Verfechter der Rechte des Individuums und wollte dieses weder durch Moral, noch durch Kirche oder Ehe eingeschränkt sehen. Gide war ein Nonkonformist aus Prinzip und wollte in der Tradition der Aufklärung den Menschen zu seiner Freiheit führen. Sein wichtigstes Werk ist »Les Faux-monnayeurs - Die Falschmünzer«, mit dem er den psychologischen Roman experimentell erneuerte. Bei dtv ist außerdem Gides eindrucksvolle Autobiographie »Stirb und Werde« erschienen, von der er selbst sagte: »Ich weiß im übrigen, wie sehr ich mir damit schade, dies und alles folgende zu erzählen; ich sehe voraus, wie man es gegen mich wird verwenden können. Aber mein Bericht hat nur Sinn, wenn er der Wahrheit entspricht.«Sylvia Spatz arbeitet als freie Lektorin und Übersetzerin aus dem Englischen, Italienischen und Französischen. Sie lebt mit ihrer Familie in Italien.

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